Matthieu Cote: "Qu'est-ce qui sont cons ces pauvres!"
http://www.youtube.com/watch?v=Q84DpWK8S2o
Et un petit rappel
http://dl.free.fr/rPSRl1mVx Vœux de SARKOZY 2011
Matthieu Cote: "Qu'est-ce qui sont cons ces pauvres!"
http://www.youtube.com/watch?v=Q84DpWK8S2o
Et un petit rappel
http://dl.free.fr/rPSRl1mVx Vœux de SARKOZY 2011
COLLOQUE
SAMEDI 4 février 2012
de 16 H à 22 H30Salle Yvette Martinet
15 Av. des Iles à ANNECYAvec la participation de Jayra Jimenez, première secrétaire de l'ambassade de Cuba
http://a.louest-le.soleil.seleve.over-blog.org/
Ce jeudi, lors de la séance de l’Assemblée nationale, Claude Birraux a posé une question au ministre des Transports Thierry Mariani sur le maintien du permis exclusif de recherches de mines d’hydrocarbures dit “M615 Gex”.
« Que deviennent les permis accordés avant la loi du 13 juillet 2011 interdisant l’exploitation des gaz de schiste ? Et qu’en est-il de ce permis “M615 Gex” ? »
Pour le ministre des Transports, « en ce qui concerne le permis de Gex qui couvre 932 km² en Savoie et Haute-Savoie, l’analyse du rapport remis par les sociétés Egdon Ressources, Eagle Energy et Nautical Petroleum, a démontré qu’aucun recours effectif ou éventuel à des forages suivis de fracturation hydraulique de la roche n’est envisagé sur ce périmètre. Dans le cadre d’une démarche exploratoire, les sociétés citées pourraient recourir à un programme de travaux, soit une campagne de prospection sismique et un forage dirigé. L’administration reste vigilante sur ce dossier. »
Pour Claude Birraux, c’est « une demi-bonne réponse. La consultation des collectivités locales offrirait une véritable garantie. »
(Source : Dauphiné Libéré)
Si vous avez des infos à faire passer, vous pouvez les soumettre en cliquant sur "contact" à droite de cette page
_______________________________________________ Rezo74-resf74 mailing list Rezo74-resf74@dim74.sgdg.org https://listes.globenet.org/listinfo/rezo74-resf74
La pétition pour qu'Emina et Emir restent à l'école, peut être signée en ligne sur le site RESF. Situation N° 2143 http://www.educationsansfrontieres.org/rubrique25.html Réseau Education Sans Frontières Haute-Savoie FSU 10, rue Guillaume Fichet 74 000 ANNECY resf74@yahoo.fr |
La basse-cour du roi Nicolas
Un renard prénommé Nicolas sur une basse-cour régnait.
Mais il était contesté : « Il ne fait pas rentrer assez de blé,
Nous n’avons plus de grains à picorer, se lamentaient les animaux affamés. Je fais de mon mieux, répondait Nicolas.
Sans moi, ça serait pire, croyez-moi. Il y a une énorme crise mondiale
Ne l’oubliez pas, c’est infernal. »
Beaucoup d’animaux voraces
Rêvaient pourtant de prendre sa place.
A gauche, la vache Martine et la pintade Ségolène
Crurent, un temps, pouvoir devenir reines.
Mais ce fut le pigeon François qui leur fit la nique.
Aidé, malgré lui, par le cochon Dominique,
Qui manqua d’aller à l’abattoir,
Pour avoir culbuté une grande poule noire.
Mais la pire ennemie du roi Nicolas et du pigeon François
Était la fille d’un loup borgne qui avait échoué à devenir roi.
Cette louve à la voix rauque et à la chevelure blonde
Se faisait passer pour une brebis aux yeux du monde.
Elle répétait comme une litanie : «Il faut plus de poulets
Pour renvoyer chez eux les animaux étrangers,
Sans eux, nous serions tellement plus heureux».
Certains moutons l’écoutaient béats :
«Bêê, elle dit tout haut ce que nous pensons tout bas».
Le pigeon François, le roi Nicolas, l’ours Mélenchon et la taupe Eva
Faisaient de leur mieux pour éradiquer la terrible maladie
Répandue par la louve déguisée en brebis
Qui avait pour nom haine et démagogie.
Hélas ! à trois mois des élections,
Personne ne sait encore pour de bon
Qui de la farce sera le dindon
Au départ, il y a ces fameuses subprimes, des emprunts accordés aux petits revenus, sans qu’on leur dise que le taux était variable.
Ces subprimes ont été converties en titres douteux, qu’on appelle aussi des «obligations pourries».
En spéculant sur ces obligations pourries, les banques se sont retrouvées à la tête de sommes fictives appelées «actifs toxiques».
Avec ces actifs toxiques, les banques avaient donc des capitaux artificiellement gonflés : les «chiffres pipeaux»
Quand ils ont vu ces « chiffres pipeaux », les acteurs économiques, appelés aussi les «têtes de cons», ont réalisé la fragilité du secteur bancaire, ce qu’on appelle le «chie dans leur bene».
Le «chie dans leur bene» a paniqué les «têtes de cons» qui ont essayé de revendre le plus vite possible ces titres ou refiler cette merde»
Les bourses, aussi appelées «ramassis de sans couilles», dégringolent, les «têtes de cons» chient dans leur bene, plus personne n’arrive à refiler sa merde, on décide alors d’en appeler au gouvernement qu’on appelle aussi «on a tout claqué le pognon, faut nous en redonner».
Le gouvernement américain injecte 700 milliards de dollars qu’il emprunte à la Chine et aux Emirats arabes, ceux qu’on appelle aussi le : «les bridés sont bien obligés de nous filer la thune parce que si on se pête la gueule, ils pourront plus nous fourguer leur produits de merde, pareil pour les enturbannés s’ils veulent continuer à nous vendre leur pétrole à la con, faut qu’on puisse encore acheter des bagnoles».
Les bridés et les enturbannés filent la thune.
Les «têtes de cons» arrêtent de chier dans leur bene et les ramassis de sans couilles ont le cul propre car il a été bien léché.
Pendant ce temps-là, les boîtes se pêtent la gueule, les gens n’achètent plus rien parce qu’ils ne peuvent plus ou parce qu’ils ne pourront plus et ils se font virer ou ils vont se faire virer.
Un bon gros bordel qui va tous nous foutre à la rue à poil, ce qu’on appelle aussi une crise financière.
Ecouter en cliquant sur le lien ci-dessous