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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 12:25

Les petites universités, dont l'Université de Savoie, sont menacées de dissolution au sein d'universités académiques par le projet de loi sur l'enseignement supérieur.

Des formations et des établissements risquent de disparaitre malgré la réussite des étudiants, ce qui aura des conséquences sur les territoires, sur le coût des études pour les familles.

Des détails sont donnés, ainsi qu'une pétition en ligne à signer, sur le site web suivant :
http://soutien-univ-savoie.blogspot.fr/

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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 12:21

 

Prochaine ACA
mercredi 15 mai - 19h00
restaurant Le Dersim
rte de Frangy - Meythet (face à SNR)

- bilan du 5 mai, ses suites sur le plan régional début juin.
- assises du 16 juin pour une autre démocratie

 

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 07:37

 

 

 

En quelques semaines nous serons bientôt plus de 1000 à avoir signé notre pétition pour protester contre l’implantation d’un grand stade pour l’ETG à CHAUX.

Face à ce projet délirant soutenu activement par Mme le Maire de SEYNOD , nous devons nous mobiliser davantage en faisant circuler cette pétition autour de nous.

 

 

Un grand stade autouré de centres commerciaux et autres hôtels voilà le rêve de nos élus majoritaires de Seynod . Une vaste zone agricole rayée de la carte , des agriculteurs contraints de quitter leur activité , des paysages dévastés …voilà ce qui est annoncé si ce projet est conduit à terme .

Elaboré en catimini ce projet n’a donné lieu à aucune consultation de la population , pire encore le débat demandé au conseil municipal par les élus du groupe « seynod avec vous » a obtenu une fin de non recevoir !

Nos élus majoritaires font le choix du gaspillage de l’argent public au profit d’intérêts privés ,ils décident de sacrifier les ressources locales et les terres agricoles au profit d’une minorité qui profitera de ces aménagements.

Si nous montrons que des milliers de personnes demandent le retrait de ce projet les élus devront revoir leur copie .

WWW.NONSTADESEYNOD.COM

 

Nous vous remercions pour votre soutien.

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 07:29

INVITATION

M’PEP74, ATTAC

 FRONT DE GAUCHE CHABLAIS : PG, PC, Fase

Vous proposent de débattre

Vendredi 17 mai à partir de 20h30

Château de Sonnaz à THONON

2,  rue Michaud, près de l’hôtel de ville

COMMENT LA MONDIALISATION

A TUE L’ECOLOGIE ?

Avec  AURELIEN BERNIER

 

En octobre 1974, une conférence organisée par les nations unies dans la ville mexicaine de Cocoyoc débouche sur le texte le plus radical jamais publié par la communauté internationale sur les questions d’écologie et de développement. Les auteurs de cette déclaration qui veulent renforcer « l’autonomie nationale », « décentraliser l’économie mondiale » (…) sont des militants de la démondialisation avant l’heure.

L’écologie émerge dans les années 70 et les grandes puissances économiques comprennent qu’un danger se profile. Alors que la mondialisation du capitalisme se met en place grâce à la stratégie du libre-échange, l’écologie politique pourrait remettre en cause le productivisme, l’intensification du commerce international et les délocalisations de l’industrie vers les pays à bas coûts de main d’œuvre. La prise de pouvoir du capitalisme néolibéral grâce à ce libre échange et la montée des questions environnementales  dans le débat public ont donc lieu simultanément. La mondialisation est une « réussite » : les crises se succèdent, mais les profits des multinationales n’en finissent pas de grimper, le chômage permet de rediscipliner les travailleurs à l’échelle planétaire et l’échec des politiques environnementales est tout aussi spectaculaire.

Pour sortir du libéralisme

Reprendre les principes de la conférence de Cocoyoc, trop vite oubliés par les Nations unies

Et

Rompre avec le libre échange en mettant en œuvre la coopération entre les états par l’application de la charte de la Havane

Le capitalisme n’est pas une fatalité !

Des propositions réalistes pour en sortir existent, il est urgent d’en débattre pour permettre aux citoyens de s’en emparer.

 

 

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 18:45
SOLIDARITE AVEC LA FAMILLE KORBI –VILLAGE DE SERVOZ, COLLEGE DE CHAMONIX

C'est avec beaucoup d'émotion que nous avons appris que LA FAMILLE KORBI venait de recevoir une obligation de quitter le territoire français, délivrée par la préfecture de Haute-Savoie, le 5 février dernier. Egzontin est élève à l’école de Servoz depuis février 2012.
Sa famille a dû fuir le Kosovo où elle se trouvait en grand danger.
Cette famille est installée en France depuis deux ans et demi. Les parents ont scolarisé leurs trois enfants ; Albianna, Argentin et Egzontin au collège de Chamonix et à l’école primaire de Servoz.

Si nous portons beaucoup d'attention à cette famille, c'est aussi parce qu'elle entreprend d'énormes efforts d'intégration. Les enfants sont extrêmement appliqués à l'école et au collège. Les parents ont aussi tissé des liens avec plusieurs familles du village et font actuellement des efforts soutenus pour améliorer leur français. Toute la famille est parfaitement intégrée et les enseignants, les parents d’élèves, les proches peuvent témoigner de tous les efforts qu’ont pu déployer parents et enfants, de leur énergie, de leur motivation, de leur volonté de tisser des liens profonds avec la culture et la société française.
Mustafa KORBI est d’origine serbe et Magbule, son épouse est d’origine albanaise. Les couples mixtes ne sont pas tolérés au Kosovo et sont exposés à de graves menaces.

Cette famille d'origine mixte Serbe-Kosovar a subi de nombreuses persécutions aussi bien au Kosovo qu'en Serbie. Toutes ses demandes d'asile ont été systématiquement rejetées, ce que nous ne comprenons pas, car à la connaissance de son histoire, il est évident que dans le contexte actuel de recrudescence des violences au Kosovo, celle-ci serait gravement en danger si elle y retournait.
Un comité de soutien s'est spontanément constitué pour éviter cette expulsion.

Une pétition vient d'être lancée.
Nous demandons à ce que la famille KORBI puisse rester parmi nous, en France, et qu’elle obtienne un titre de séjour ; qu’Abiana, Argentin et Egzontin puissent continuer sereinement leurs études et que l’on procède à un examen approfondi et bienveillant de leur situation envie d’obtenir une régularisation.
MERCI D’AVANCE POUR VOTRE SOUTIEN…

www.petitionpublique.fr/?pi=P2013N39450
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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 18:42


L
ors de l'émission Des paroles et des Actes sur France 2 le 12 janvier dernier, François Lenglet, directeur de BFM Business a opposé à Jean-Luc Mélenchon un argumentaire appuyé sur plusieurs graphiques sortis à l'improviste. Dans cette note, la commission économie du Parti de Gauche décrypte les 4 "erreurs" fondamentales de cet argumentaire libéral.

1.    « Les pays qui ont le moins dépensé sont ceux qui s'en sortent le mieux »

Monsieur Lenglet présente un premier graphique (ci-dessus) montrant la part de la dépense publique dans le PIB: la France se situe au niveau le plus élevé.  Un second graphique montre les courbes de croissance depuis la crise financière : des trois pays cités, la France apparaît en dernière position. Le message est donc celui-ci : ce n’est pas en augmentant encore davantage les dépenses que vous aurez plus de croissance. Cette présentation est entièrement trompeuse.

2.  « La part des salaires dans la valeur ajoutée a peu changé depuis 1950 »

Monsieur Lenglet nous montre ensuite que la part des salaires dans la valeur ajoutée des sociétés non financières est restée relativement stable sur longue période. Le graphique présenté permet plutôt de déduire une baisse d'environ 5 points de la valeur ajoutée (VA) entre la période précédent la décennie 80 et aujourd'hui, ce qui n'est pas négligeable.
L'astuce statistique provient du mode de calcul utilisé pour mesurer la VA et des choix tels que celui du prix de référence ou des secteurs d'activité pris en compte :

Monsieur Lenglet s'appuie sur un rapport de l'INSEE qui ne conserve que les sociétés non financières (industrie et services) et ne tient notamment pas compte de la financiarisation de l'économie.
Le rapport de la Commission Européenne sur "L'emploi en Europe" (2007) mesure que la part des revenus du travail dans le PIB a bien chuté de 10 points depuis 1981, c'est-à-dire plus du double qu'aux États-Unis et ce qui correspond environ à 100 Milliards d'euros par an.!

3.    «  Le patrimoine n'est-il pas déjà trop imposé en France ? »

Monsieur Lenglet montre à l'antenne le graphique suivant tiré des statistiques de l'OCDE :

S'il est vrai que l'OCDE place la France parmi les pays à forte imposition du patrimoine, notre pays n'est pas le plus haut placé. Selon les mêmes statistiques de l'OCDE, en 2010, le Royaume Uni dispose d'un impôt sur le patrimoine de 4.2% du PIB ! Le taux d'imposition réel du capital est en outre rongé par les mesures fiscales telles que les niches fiscales et prélèvement libératoires.
Par ailleurs, cette statistique ne nous dit rien du niveau de ce patrimoine dans la richesse totale et de son accumulation. Il ne permet pas non plus d'en évaluer la répartition selon les niveaux de revenus, ce qui est fondamental.

La question principale n'est donc pas de savoir à combien le capital est taxé mais bien de montrer qu'il est concentré chez peu d'individus et que ses revenus profitent aux plus riches. C'est encore un mensonge par omission. Les récents travaux de l'économiste Thomas Piketty sur le patrimoine en France et son évolution sur longue période nous permettent d'en apprendre un peu plus. Ainsi, le graphique ci-dessous trace l'évolution de la valeur des successions annuelles en % du revenu national :

Valeur des héritages annuels en % du revenu national (source : Piketty, 2010)

Pour reprendre les mots de T. Piketty, en France « jamais depuis la Belle Epoque (1900-1910) les patrimoines ne se sont aussi bien portés. » Le patrimoine représente aujourd’hui près de 6 années de revenu national (9000 milliards d’euros) contre moins de 4 années en 1980. En outre, comme le montre le tableau ci-dessous, le patrimoine est encore très inégalement réparti puisque les 10% les plus riches possèdent 62% du patrimoine total contre seulement 4% pour les 50% les plus pauvres. De quoi justifier la réforme de l’imposition du patrimoine proposée par le Front de Gauche !

Source :http://www.revolution-fiscale.fr

4.    « Le coût du travail n'est-il pas déjà trop élevé en France ? »

Graphique 1 : Dépense publique vs. Croissance ? 
(source: FMI)

Axe horizontal : taux de croissance du PIB
Axe vertical : part des dépenses publiques dans le PIB

Graphique 2 : Dépense publique vs. Crise de confiance ? 
(sources : FMI et BCE)

Axe horizontal : taux d’intérêt à 10 ans sur la dette
Axe vertical : part des dépenses publiques dans le PIB

Graphique 3 : Part de relance dans le PIB
(source : Brookings institution)

La comparaison faite par Monsieur Lenglet entre part des dépenses publiques dans le PIB et croissance n’a aucun sens. On observe sur le graphique 1 ci-contre qu’aucune corrélation n’existe entre ces deux variables pour les pays de l’UE (source FMI :fiscal monitor2011). Plus intéressant, le graphique 2 ci-après montre qu’aucune corrélation n’existe non plus entre la part de la dépense publique dans le PIB et les taux d’intérêts sur la dette de long terme. Certains pays, comme le Danemark ou la Finlande, ont une dépense publique en pourcentage du PIB très élevée et des taux d’emprunts très faibles. Inversement, des pays comme le Portugal, la Hongrie ou la Slovénie doivent payer des taux d’intérêt sur 10 ans élevés malgré un faible niveau de dépenses publiques.

Par ailleurs, les deux pays (Allemagne et Etats-Unis) cités en exemple par Monsieur Lenglet au motif que leur croissance aurait été plus élevée depuis la crise sont également ceux qui ont mis en œuvre les plans de relance les plus forts. En effet, à partir des bases de données du FMI, l’institut Brookings a publié dans une note de 2009 le niveau des plans de relance de plusieurs économies. Le plan de relance américain a ainsi représenté près de 6% du PIB contre 3% pour l’Allemagne et moins de 1% pour la France (graphique 3).

La période de crise justifie donc de dépenser davantage par des programmes de relance plutôt que de diminuer les dépenses et de nuire ainsi à la croissance. Or la rigueur a désormais lieu partout en Europe, contre l’avis de beaucoup d’analystes et d’économistes. Voici ce qu’écrit par exemple le chef économiste du FMI Olivier Blanchard dans ses « Quatre leçons sur la crise » en décembre 2011 : «Les investisseurs financiers sont schizophréniques s’agissant des plans de rigueur et de la croissance. Ils réagissent d’abord positivement aux annonces de plans de rigueur, mais négativement ensuite lorsque la rigueur conduit à une plus faible croissance – ce qui est souvent le cas. Les estimations du FMI suggèrent ainsi que la rigueur peut conduire à une hausse plutôt qu’à une baisse des taux d’intérêts sur la dette souveraine. » Les exemples récents de la Lituanie, de l’Espagne, de la Grèce ou encore de l’Irlande ont montré que la rigueur a eu un « effet multiplicateur » à l’envers désastreux pour la croissance et la dette de ces pays.

Graphique 1 : Part de la richesse totale détenue par les 1% les plus riches 
(source : Top Income Database)

Graphique 2 : dividendes, intérêts, Impôt sur les Sociétés
(source : INSEE)

En outre, la référence unique à la part du travail dans la VA ne permet pas d'analyser avec précision les évolutions au sein de chacune des deux catégories capital / travail. Or, ces évolutions sont très importantes. Ainsi, pour ce qui est du travail, une plus grande part des gains de salaires depuis les années 80 a été captée par les 1% les plus riches :
Le graphique 1 montre que la part de la richesse produite détenue par les 1% les plus riches est passée de 7 à 9% entre 1982 et 2006 (sources :PSE Top Income Database). À l'inverse, les bas salaires ont eux stagné et, sur 25 ans, la hausse du SMIC net réel demeure bien inférieure à celle des gains de productivité moyens (Askenazy, 2009).
S'agissant du capital, le graphique 2 montre l'évolution de la part des dividendes (en bleu), des intérêts (en rouge) et de l'impôt sur les sociétés (en vert) dans la valeur ajoutée des sociétés françaises depuis 1949 (source : INSEE). On observe ainsi que la part des dividendes passe de 3% en 1981 à près de 9% en 2008, c'est-à-dire du simple au triple !
Le constat que devrait faire Monsieur Lenglet est donc le suivant : la part des salaires a effectivement baissé de 10 points depuis 1981, celle des revenus du capital a, elle, triplé, et même dans ce contexte non favorable au travail, les hauts salaires ont captés une plus grande part de la richesse nationale.

Graphique 1 : Coût du travail 
(source : France 2)

 

Graphique 2 : coût du travail, 2007 
(source : OCDE)

Axe horizontal : taux d’intérêt à 10 ans sur la dette
Axe vertical : part des dépenses publiques dans le PIB

Graphique 3 : coût du travail horaire en $ 
(source : BLS)

Graphique 4 : Comparaison salaires France-Allemagne 
(source : Eurostat)

A partir des indices de l'OCDE entre 2005 et 2010, Monsieur Lenglet nous montre deux courbes croissantes de coût du travail (base 100 en 2005), la France se situant au dessus de l'Allemagne (Graphique 1). Le Front de Gauche réfute même la notion de "coût du travail" parce que ce n'est pas un "coût" mais simplement un salaire différé ! Monsieur Lenglet s'inscrit dans une analyse libérale cherchant à diminuer les cotisations sociales patronales. C'est bien du salaire différé car elles permettent de financer notamment l'assurance chômage et la sécurité sociale (dont les retraites, les accidents du travail, etc.) ! Par soucis de compréhension, nous utilisons ce terme en sachant le profond sous-entendu libéral qu'il suggère.
En outre, son graphique est mensonger car il montre uniquement une évolution d'indice depuis 2005 et non le niveau réel ! Il faut tenir compte du point de départ : c'est un mensonge par manipulation.

Monsieur Lenglet, comme beaucoup d'autres commentateurs avant lui, se trompe en effet sur cette question. En réalité, la notion de coût du travail est très variable selon les définitions statistiques utilisées. Ce que l'on peut dire, c'est que le coût du travail français est légèrement inférieur à celui de la moyenne des pays de l'OCDE. En prenant les données que publie l'OCDE sur son site internet (coût unitaire du travail, indice OCDE 2007), on observe que le coût du travail français est moindre que celui de pays aussi divers que le Royaume Uni, l'Italie, l'Espagne, la Norvège et même les Etats-Unis (graphique 2).
En ce qui concerne la comparaison plus précise entre la France et l'Allemagne, le constat n'est pas aussi simple à établir. En effet, les estimations varient selon les champs de salariés considérés, les secteurs d'activité et la définition du temps de travail. Le US Bureau of Labor Statistics qui se focalise sur le secteur de l'industrie manufacturière (pertinent s'agissant de la compétitivité), publie en 2010 les statistiques qui apparaissent sur le graphique 3. Ce graphique montre ainsi que le coût du travail horaire dans l'industrie manufacturière est 8% supérieur en Allemagne qu'en France.

L'économiste du travail Philippe Askenazy analyse dans une courte note toutes ces difficultés statistiques qui rendent la comparaison France/Allemagne difficile :
Il conclut cependant dans un récent entretien: " Si l'on se base sur les comptes nationaux, qui agrègent un maximum de critères, notamment la productivité, le coût du travail est plus élevé en Allemagne qu'en France. Et la raison est simple: les salariés allemands sont mieux payés" (entretien 20minutes, 20 janvier 2011). Ce qui est bien montré par le graphique 4 tiré de données d'Eurostat.

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 18:27

Reunion publique

jeudi 16 mai à 19h00

Salle Pierre Lamy à Annecy

Entrée libre

 

Quelles solutions pour demain?

Interventions

- Transports et déplacements : peut mieux faire?

- Les projets en cours : tout routier?

- Regard sur quelques propositions citoyennes

- Autres "petits désordres" : quelles perspectives à 20 ans?

- Le SCOT et les citoyens dans tout ça?

 

(les amis de la terre et la FRAPNA, initiative soutenuepar le collectif citoyen pour un bassin annecien durable et solidaire)

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 18:22

Enterrons le projet

Tous à notre Dame des Landes : Chaine humaine le 11 mai à 14h00

 

Départ vendredi 10 mai à partir de 21h00

Retour dimanche 12 mai dans la matinée

 

Points d'embarquement :

Annecy, Pers-Jussy, Bellagarde, Bourg en Bresse, Macon...

 

Demande de renseignement et inscription :

inscriptionzad74@laposte.net

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 18:19

Vendredi 3 mai 2013 à 20h

Salle des Papéteries à Cran Gevrier

 

Projection du film de Béatrice Turpin et débat pour comprendre ce qui se passe à Nantes

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 17:42
Mercredi 1er mai EXCEPTIONNELLEMENT

Alternatives de luttes à l'ANI une loi "qui sent le Sapin pour les travailleurs"

.
Le Repaire n'aura pas lieu au Dersim, mais au Boulodrome de la Ville d'Annecy, boulevard du Fier de 14 à 16 heures où la section locale de la CGT nous accueille gracieusement après un grand repas républicain organisé par leurs soins pour la somme modique de 12€

Auparavant nous aurons eu le plaisir de marcher avec vous à la manif traditionnelle du 1er mai qui partira de la Bourse du Travail Salle Pierre Lamy à 9h30



AMGment votres
L'équipe du Repaire d'Annecy-Meythet
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Présentation

  • : Café Repaire Annecy-Meythet
  • : Prolongement de l'émission de Daniel Mermet "La-bas si j'y suis". Débats, discussions sur des thèmes variés, liés ou non à l'actualité et à la politique.
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